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Dans un éclat de couleurs et de songes, Avatara s’érige comme une porte entre les mondes, un carrefour où l’imaginaire et le réel s’entrelacent dans une danse lumineuse. Françoise Leblond, magicienne des formes et des teintes, nous entraîne ici dans un univers vibratoire où chaque pigment semble pulsé par une force intérieure, chaque ligne chuchotant une histoire à découvrir.
Au cœur de cette scène foisonnante, une figure ovale surgit du mystère. Son visage rose, ponctué d’yeux verts et d’une bouche rouge, s’anime d’une présence énigmatique. Ses cheveux, échos fluides du firmament, s’étirent en volutes bleues et violettes, comme une rivière céleste où voguent les esprits errants. Sur son front, un oiseau, messager des rêves, laisse s’échapper une cascade de perles lumineuses, offrande aux mondes invisibles.
Le décor se déploie dans un ballet féerique : deux silhouettes féminines tournoient en robes éclatantes, tandis qu’en contrebas, trois créatures chevauchent un être fantastique dont les contours défient la raison. Le sol, loin d’être inerte, s’épanouit en vagues de vert, de bleu et d’orange, où s’enracinent des arbres aux visages espiègles, témoins d’un royaume où tout est vivant, où tout respire.
À la lisière du visible, une silhouette fragmentée semble émerger des profondeurs, son regard bleu perçant l’obscurité, comme un reflet d’âme projeté sur la toile du songe. Avatara est une épopée, une invitation à franchir les seuils du tangible pour plonger dans l’infini du sensible.
Avec la série Abstraction Poétique, Françoise Leblond orchestre une symphonie visuelle où la couleur devient langage, où la forme s’affranchit des codes pour vibrer au rythme de l’émotion pure. Chaque toile est une célébration de la vie, un hymne au pouvoir du rêve, où l’abstraction se fait poésie, et la peinture, enchantement.
Avec Avatara, Françoise Leblond nous entraîne dans un univers vibrant où l’abstraction et la poésie s’entrelacent en une danse lumineuse. Une figure énigmatique surgit au cœur de la toile, son visage rose illuminé d’un regard vert, tandis que ses cheveux flottent comme une rivière céleste. Autour d’elle, silhouettes dansantes, créatures fantastiques et arbres animés composent un monde en perpétuelle métamorphose. Dans cette épopée visuelle, chaque couleur vibre d’une énergie pure, chaque forme devient langage. Un hymne au rêve et à l’infini du sensible.