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Le tableau énigmatique intitulé « La Cité Perdue », conçu par l’artiste Françoise Leblond, offre aux spectateurs un voyage au cœur d’un monde méditerranéen oscillant entre réalité et imagination. Cette œuvre captivante incite à une exploration à la fois visuelle et mentale, révélant progressivement des éléments qui remettent en question la logique et ouvrent les portes d’un univers fantastique aux multiples facettes.
Dès le premier regard, l’image dévoile une scène méditerranéenne familière, où une mer calme caresse une cité blanche émergeant de la rive droite. Les édifices aux formes arrondies et aux toits en arc évoquent une architecture orientale, transportant les esprits vers des contrées lointaines et exotiques. Une jetée relie cette cité à la mer, tandis que des bateaux rappelant les gondoles de Venise se balancent paisiblement à quai, ajoutant une touche romantique et aventureuse à l’ensemble.
Le ciel teinté d’une douce nuance de jaune pâle est parsemé de nuages, créant une atmosphère sereine et apaisante. Toutefois, ce qui semblait initialement réaliste et identifiable commence à dévoiler des indices de son essence énigmatique et fantastique. Une falaise rocheuse percée sur la rive gauche évoque les habitations troglodytes, tandis qu’un escalier invite à une exploration profonde. Au pied de cet escalier, une terrasse luxuriante bordée de palmiers accueille un groupe de maisons aux toits-terrasses, créant un contraste saisissant avec la cité en face.
Une anse aux teintes jaunes relie les deux rives, fusionnant ces mondes apparemment opposés dans une composition harmonieuse. Deux Sphinx en pierre, symboles de mystère et de sagesse, observent attentivement la cité, ajoutant une touche de mysticisme à l’ensemble. Le titre évocateur « La Cité Perdue » éveille la curiosité et suggère que la cité détient un secret, peut-être oublié ou enfoui.
Françoise Leblond nous convie à plonger dans une réalité altérée où les frontières entre le tangible et l’imaginaire s’estompent. L’assemblage subtil d’éléments familiers et d’éléments fantastiques crée une tension narrative qui pique la curiosité du spectateur. L’absence de signes de vie au sein de la cité engendre des questions intrigantes : Qui habitait autrefois cet endroit animé ? Pourquoi semble-t-il abandonné ?
« La Cité Perdue » fait partie de la série « Réalisme Imaginaire », un lieu où Françoise Leblond réinvente la réalité par le prisme de sa créativité sans borne. Elle perturbe les conventions artistiques en introduisant des éléments inattendus qui évoquent une gamme d’émotions et d’interprétations. L’artiste nous incite à remettre en question notre perception de la réalité et à embrasser la puissance de l’imaginaire pour dévoiler de nouvelles perspectives non explorées.
Cette œuvre nous rappelle que la frontière entre le réel et l’imaginaire est malléable et que l’art détient le pouvoir de révéler des vérités dissimulées et d’encourager notre réflexion créative. L’œuvre de Françoise Leblond nous pousse à plonger dans l’inconnu, à remettre en question les certitudes établies et à embrasser l’extraordinaire. « La Cité Perdue » dépasse le simple statut de tableau pour devenir une invitation à une quête ininterrompue de découverte et d’exploration. Dans son essence même, cette œuvre rappelle la richesse insoupçonnée qui émane du mariage entre l’art et l’imaginaire, nous incitant à chercher la beauté, la profondeur et la signification dans les recoins les plus inattendus de notre existence.
Le tableau énigmatique intitulé « La Cité Perdue », conçu par l’artiste Françoise Leblond, offre aux spectateurs un voyage au cœur d’un monde méditerranéen oscillant entre réalité et imagination. Cette œuvre captivante incite à une exploration à la fois visuelle et mentale, révélant progressivement des éléments qui remettent en question la logique et ouvrent les portes d’un univers fantastique aux multiples facettes.
Dès le premier regard, l’image dévoile une scène méditerranéenne familière, où une mer calme caresse une cité blanche émergeant de la rive droite. Les édifices aux formes arrondies et aux toits en arc évoquent une architecture orientale, transportant les esprits vers des contrées lointaines et exotiques. Une jetée relie cette cité à la mer, tandis que des bateaux rappelant les gondoles de Venise se balancent paisiblement à quai, ajoutant une touche romantique et aventureuse à l’ensemble.
Le ciel teinté d’une douce nuance de jaune pâle est parsemé de nuages, créant une atmosphère sereine et apaisante. Toutefois, ce qui semblait initialement réaliste et identifiable commence à dévoiler des indices de son essence énigmatique et fantastique. Une falaise rocheuse percée sur la rive gauche évoque les habitations troglodytes, tandis qu’un escalier invite à une exploration profonde. Au pied de cet escalier, une terrasse luxuriante bordée de palmiers accueille un groupe de maisons aux toits-terrasses, créant un contraste saisissant avec la cité en face.
Une anse aux teintes jaunes relie les deux rives, fusionnant ces mondes apparemment opposés dans une composition harmonieuse. Deux Sphinx en pierre, symboles de mystère et de sagesse, observent attentivement la cité, ajoutant une touche de mysticisme à l’ensemble. Le titre évocateur « La Cité Perdue » éveille la curiosité et suggère que la cité détient un secret, peut-être oublié ou enfoui.
Françoise Leblond nous convie à plonger dans une réalité altérée où les frontières entre le tangible et l’imaginaire s’estompent. L’assemblage subtil d’éléments familiers et d’éléments fantastiques crée une tension narrative qui pique la curiosité du spectateur. L’absence de signes de vie au sein de la cité engendre des questions intrigantes : Qui habitait autrefois cet endroit animé ? Pourquoi semble-t-il abandonné ?
« La Cité Perdue » fait partie de la série « Réalisme Imaginaire », un lieu où Françoise Leblond réinvente la réalité par le prisme de sa créativité sans borne. Elle perturbe les conventions artistiques en introduisant des éléments inattendus qui évoquent une gamme d’émotions et d’interprétations. L’artiste nous incite à remettre en question notre perception de la réalité et à embrasser la puissance de l’imaginaire pour dévoiler de nouvelles perspectives non explorées.
Cette œuvre nous rappelle que la frontière entre le réel et l’imaginaire est malléable et que l’art détient le pouvoir de révéler des vérités dissimulées et d’encourager notre réflexion créative. L’œuvre de Françoise Leblond nous pousse à plonger dans l’inconnu, à remettre en question les certitudes établies et à embrasser l’extraordinaire. « La Cité Perdue » dépasse le simple statut de tableau pour devenir une invitation à une quête ininterrompue de découverte et d’exploration. Dans son essence même, cette œuvre rappelle la richesse insoupçonnée qui émane du mariage entre l’art et l’imaginaire, nous incitant à chercher la beauté, la profondeur et la signification dans les recoins les plus inattendus de notre existence.